
L’histoire se répète. L’Europe est redevenue l’épicentre de la pandémie de Covid-19. Un an après le séisme épidémique de l’automne 2020, le Vieux Continent est victime d’une puissante réplique. L’an dernier, il assistait ébahi à une flambée de nouveaux cas déclarés, qui culminait à 2 millions la première semaine de novembre. Un an plus tard presque jour pour jour, il s’apprête à franchir de nouveau ce seuil, après avoir connu une vague printanière puis un grand reflux estival. Un répit qui, comme il y a un an, avait pu laisser croire à une sortie de crise. En vain. « L’épidémie a la même forme de dispersion que le Boléro de Ravel, où chaque instrument entre en scène l’un après l’autre, indique Antoine Flahault, directeur de l’Institut de santé globale (université de Genève). Tout le monde n’entre pas en phase épidémique au même moment, chaque cluster géographique joue sa partition. »
l’idea che la causa siano i vaccini non li sfiora!
La locuzione latina Quos vult Iupiter perdere, dementat prius, tradotta letteralmente, significa “a quelli che vuole rovinare, Giove toglie prima la ragione”. Nella forma cristiana diventa Quos Deus perdere vult, dementat prius.
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